Small world
jeudi 2 avril 2009Samedi midi, sur mon Vélib’, boulevard de Magenta. La Piste Cyclable de la Mort, avec de vrais morceaux de piétons dedans. Je fonce, mais pas trop vite, car j’ai rendez-vous, mais je ne voudrais pas écraser quelqu’un. Surtout le groupe, là, qui monte dans une voiture, et qui déborde un peu sur le chemin. Gling, gling, je sonne, je passe, on m’interpelle, Hé, coucou Thomas ! Ah bin oui, bien sûr, c’est D., de passage à Paris. Je suis content de le voir, d’ailleurs je descends bientôt pendre sa crémaillère à huit cents kilomètres d’ici.
Après le déjeûner, direction la porte de Champerret avec Artefact. Il faut repeupler la cave. À l’entrée du salon, des visages familiers dans la foule. Tiens, c’est Sl. et Pl. et un ami à eux. Chouette, on s’échange les bonnes adresses, leur jurançon sec contre mon graves qui déchire. On fait un bout de visite ensemble.
Samedi soir, chez Ga. On est à 50 mètres de chez sœurette.
Dimanche, Salon des vignerons indépendants, le Retour. Avec E. cette fois. Tiens, salut J.-M., encore un plongeur qui boit. Tiens, salut… toi. E. n’a pas la mémoire des prénoms. On croisera encore une collègue à elle, et puis T. et M. et Boutchou en balade aux Tuileries.
Qui a dit qu’à Paris, au milieu de la foule, on était anonyme au milieu d’inconnu-e-s ?
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