Six gouttes d’eau dans l’océan
mardi 18 mars 2008À la demande conjointe de GroM et d’Erasoft à sa suite, six choses insignifiantes.
J’ai pleuré à chaque rupture (d’un côté comme de l’autre).
J’ai pleuré au cinéma. La scène de l’accouchement de Justine, dans MR73. Comme chaque fois. Un film, un documentaire tourné dans une maternité, effet garanti. (J’ai pleuré en musique aussi, bien souvent, en écoutant Ma chouette.)
J’ai pleuré à l’Église quand je connaissais celle qu’on allait porter en terre. J’ai pleuré aussi quand je ne la connaissais pas et que la petite fille serrait fort ma main.
J’ai pleuré dans le schuss à cause de la vitesse et du vent dans mes yeux. Alors j’ai acheté un masque.
J’ai pleuré dans une cabine téléphonique de la caserne de Blois en annonçant à µ que j’étais déclaré apte au service national.
Sidéré, hébété. Je n’ai pas pleuré ce matin de novembre d’il y a seize ans. E. en a même pris peur.
Les six premiers lecteurs de cette note prendront le relais.
Old soul
Très beau
RT @Scorpaena: [Blog] Old soul...
Ça valait le coup d'en l'attendre, ce...
Sept ans de réflexion
Un an plus tard Thomas, ce texte...