2015, note d’intention
samedi 3 janvier 2015On dirait que ce serait une belle année.
On vendrait Le Loft et puis on achèterait notre Maison du Bonheur. Et puis comme ça Aurore aurait bientôt un petit frère ou une petite sœur. Peut-être même qu’elle finirait par se lasser de dire « NON » entre deux interprétations à tue-tête de Libérée, délivrée.
On dirait qu’avec la fine équipe des Shortrunners on ferait plein de courses pour de rigoler, tellement qu’on finirait dans le(s tréfonds[1] du) classement du Paris Running Tour.
On dirait qu’on se parlerait plus, qu’on s’écouterait plus, qu’on se verrait plus. Qu’on éteindrait un peu la télé et qu’on rouvrirait des bouquins, des cahiers. Ou des couettes, d’ailleurs, pour y dormir, ou pas, seul·e·s ou à plusieurs.
On dirait que cette année on serait plus présents à nous-mêmes et aux autres. Que ce ne serait pas forcément drôle tous les jours, mais que les bonheurs partagés, les sourires échangés, les clins d’œil entendus et les éclats de rire nous feraient tenir à travers les gués, les ponts de singe et les coups de tabac.
C’est ce que je vous souhaite, c’est ce que je nous souhaite à tous.
- mais on s’en fout ↩
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