Petit tracas quotidien du caféinomane
dimanche 20 février 2005Ce week-end, c’était décidé depuis longtemps, je devais ne rien faire. Cocooner, manger, dormir, geeker un peu en robe de chambre (juste un tout petit peu…) Il fallait bien cela pour me remettre des courtes nuits et du rythme effréné imposés par les vacances, le retour au boulot et la virée à Dublin. Or donc, fidèle aux techniques éprouvées d’auto-motivation, je décidai de récompenser d’un expresso de bon aloi l’idée brillante que j’avais eue de cliquer sur le truc, là, parce que du coup ça marchait beaucoup mieux.
Et c’est là que le drame se noua. Les fabriquants de café moulu sont vraiment des pervers. Ils s’arrangent toujours pour que, lorsqu’on arrive à la fin du paquet, il ne reste plus tout-à-fait assez de mouture pour une dose convenable. Je me retrouvai donc face au paquet agonisant et au dilemme cruel : « jeter les quelques grammes de café qui restent, ou bien tenter le mélange avec le paquet neuf qui trône juste là, mais qui n’est pas du tout de la même marque ? » J’enrageai intérieurement contre ces fourbes d’empaqueteurs qui pourraient avoir l’humanité de mettre dans chaque sachet un multiple entier de la petite cuiller doseuse.
Comme je suis un garçon intépide, je vais finalement tenter le mélange. Si c’est pas bon et que j’en meurs, ce sera leur faute.
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