Quadrature du cercle
Je voudrais écrire, dire, crier de nouveau. Je voudrais taire, cacher avec pudeur désirs et déchirures. Je veux ma solitude, je veux ma liberté. Je veux me laisser prendre et attacher.
J’ai envie d’Une qui soit Celle, à qui tout donner, avec qui tout construire et parcourir le chemin d’une vie. J’ai envie de toi, toi, elle, lui peut-être et d’autres encore demain, corps légers. Je veux tout sacrifier mais jamais renoncer. Je veux abandonner et je veux tenir bon. Je veux trancher dans le vif et je ne veux pas que ça saigne.
Je veux que tout soit simple. Je fais tout pour que ce soit compliqué.
Je veux tout et son contraire. Je veux être et avoir été.
20 octobre 2008 à 21:56
La chanson le disait bien: « on ne peut pas être et avoir été… » (tu dois toujours me passer la musique d’ailleurs!)
Plus sérieusement, cela me semble très familier aussi… trop, même.
21 octobre 2008 à 16:32
Alterne les deux 😉 ok je sors, c’est pas drôle… Mais un peu quand même
22 octobre 2008 à 15:37
Sus à la géométrie!!
22 octobre 2008 à 19:51
Bienvenu dans la merveilleuse vie du névrosé de base… Ouééé, super.
23 octobre 2008 à 20:53
quand grandiras tu pour ne plus avoir peur?
24 octobre 2008 à 13:37
pas faux ce que dit Jo. Grandir, c’est choisir, et choisir, ce n’est pas renoncer 🙂
25 octobre 2008 à 18:22
Je rejoins Incompréhensions là-dessus … tout ça me semble très/trop familier … mais ça n’est pas une question de grandir ou pas … le tout c’est d’être lucide !!!
des bizz
28 octobre 2008 à 09:40
S’ouvrir, c’est s’exposer un peu…
S’attacher, c’est risquer de souffrir un peu…
Mais aimer, c’est surtout vivre, un peu.
2 novembre 2008 à 15:00
Et les vacances, c’était bien? 🙂
8 novembre 2008 à 19:04
Miss Nours, c’est pas si mal résumé…
Nadine, c’était super chouette ! Je me suis remis aux journées de trente-cinq heures depuis mon retour, d’où le calme relatif qui règne ici en ce moment, mais les deux semaines en Guadeloupe, à bonne distance de tout ordinateur connecté à Internet (de tout ordinateur tout court, en fait) et avec le GSM allumé au maxium trois minutes tous les deux jours, c’était le pied. On a pu vraiment profiter de magnifiques plongées. J’ai hâte de repartir :-)… Et en attendant, je me suis enfin trouvé un club à Paris, et je suis tout content.