Ondes transversales
Soit un plancher en béton flambant neuf, de la meilleure facture (il a été tout refait l’année dernière).
Soit un estimable co-bureau qui travaille d’arrache-pied sur des problèmes épineux qui semblent lui causer grand souci.
On considère le mouvement oscillatoire machinal qu’il imprime à ses pieds pour évacuer le stress.
Connaissant la rigidité du plancher dans sa direction normale et le coefficient de propagation des vibrations ainsi engendrées à travers mon fauteuil, calculer au bout de combien de temps je vais péter un plomb.
(Coucou, co-bureau !)
18 juin 2008 à 09:56
ok ok, j’arrête!
18 juin 2008 à 10:19
Merci Greuh ! (Tiens, tu lis les blogs sur ton temps de travail ?)
18 juin 2008 à 11:55
Sans parler du phenomene de résonance, Thomas tu vis dangereusement !
18 juin 2008 à 11:58
A propos de temps de travail, ton horloge est a l’heure de MAIS OU DONC ?
Mon post était plutôt de 13:55. Ce qui signifie que les heures de bureau de greuh sont assez matutinales, félicitations greuh.
18 juin 2008 à 12:04
Tilly, tout est daté en temps universel, j’ai pas eu le temps de faire la gestion de l’heure locale comme je veux. Un jour viendra, quand j’aurai le temps… Le commentaire de Greuh date donc de 11:56, heure de Paris, ce qui n’est pas spécialement matutinal, en fait.
18 juin 2008 à 12:10
Heu, vu que j’ai rêglé mon horloge personnelle sur le temps universel, je suis raisonnablement matutinal, du coup.
(Et je ne lis pas moins les blogs sur mon temps de travail que je ne travaille sur mon temps de lecture de blog)
18 juin 2008 à 12:36
Ouais plus ou moins deux heures quelle affaire !
Je compte le temps dans le sens ou ça m’arrange, voila tout 😉
19 juin 2008 à 06:39
Bah dis donc… vous devez vraiment vous amuser au bureau (cf commentaires of course)
Mais est-ce forcément une évacuation de stress ce mouvement répétitif des membres inférieurs ?
19 juin 2008 à 16:58
mdr… sympa comme mode de comm… puis personne le sait comme ça
20 juin 2008 à 20:14
Facile !
En fait, c’est une équation à une inconnue (ou un inconnu hein !).
L’essentiel, c’est de respecter les coups de semonces (comme dans la police!) :
1) « Euh, excuse-moi, peux-tu arrêter de taper des pieds s’il te plaît ; ça m’énerve un peu ? »
2) « Euh, te souviens-tu ce que je t’ai demandé il y a deux minutes à propos de tes pieds ? »
3) « Euh, peux-tu me rappeler la dernière fois où je t’ai adressé la parole ? S’il te plaît hein ! »
…
Après, si aucune réaction positive (c’est-à-dire négativement vibratoire) de l’objet ou du sujet adverse : Se lever ; tendre géographiquement et lentement vers le point sismique et distribuer des baffes jusqu’à plus ample sagesse zen.
Ne pas oublier de bien respirer après.
Si le trouble continue : Appeler les pompiers.
Sinon, je ne sais pas.
A+
21 juin 2008 à 11:29
Oh, il y avait déjà eu bien plus que deux coups de semonce… La mise en garde au sujet d’une prochaine explosion de furie par blog interposé, c’est ma version toute personnelle de la riposte graduée.
21 juin 2008 à 23:39
ben surtout n’oublie pas de nous raconter hein !? Toujours en vocabulaire scientifique, c’est mieux.
en fait c’est une version inversée des Figures de Style : même style, mais chapitres progressifs ;o)
6 juillet 2008 à 20:36
ben dites donc, c’est complètement mort par ici.. youhou?
6 juillet 2008 à 20:39
Comme dit Solveig, « Vivre me prend tout mon temps ».
Y a du chouette et du pas chouette, du rigolo, des larmes, de la bière et du diabolo-menthe. Y a des gens, des bouquins, des soirées, des journées. Des souvenirs et des projets. De l’écriture en gestation aussi, mais en ce moment il faut que ça mature. Ça va venir. Patience.
8 juillet 2008 à 20:12
Comme d’habitude quoi ! c’est la vie !!!