Comme un écho
Trois petits mois et puis s’en va.
Trop de peurs que tu ne savais pas dire. Trop de peurs qu’il aurait fallu que je devine. Trop de questions qu’il aurait fallu que je pose quand tout semblait aller bien. Les mêmes qui restaient sans réponse quand tout semblait aller mal. Trop de mots par trois pas dits tracés en silence dans le noir.
Et toujours le goût amer et familier d’avoir échoué encore une fois à défier le temps.
18 octobre 2007 à 23:37
T’ai-je dit ce que je pensais de ce temps ? (celui que tu comptes)
Comme dirait un ami, « c’est le temps psychique qui compte »… that’s all.
(bon en fait non, c’est plus compliqué, évidemment, mais quand même, faut que tu t’arrêtes, espèce d’obsessionnel !)
19 octobre 2007 à 12:37
Durs mots. Durs moments. Dures reflexions.
Et encore une fois tu les mets si bien par écrit.
Ca m’a plongé dans un coup de déprime hier soir en lisant tes mots. Pour ce même goût pas si lointain. Mais sûrement aussi amer.
19 octobre 2007 à 22:09
Melie, je serais le premier ravi de sortir de ce cycle d’éternel recommencement. De ne plus être Sisyphe amoureux.
Leeloolene, désolé pour la déprime… et merci pour tes mots.
À toutes et tous, je pars quelques jours loin, où il fait beau et chaud et où j’échappe encore aux tentacules du réseau. Soyez sages. À bientôt.