Vingt choses que vous ignoriez peut-être
Melie m’a demandé vingt révélations me concernant. Toujours joueur, et un peu exhibitionniste aussi, comme nombre de blogueurs n’est-ce pas, je me livre à l’exercice de la confession impudique.
J’ai couché avec trois fois plus de filles que de garçons. Exactement. (À ce jour.)
J’ai une liste à jour (pour le moment).
Je n’ai pas de liste de tous les gens que j’ai embrassé-e-s. Il y en a dont je ne connais pas (ou dont j’ai oublié) le prénom.
J’ai déjà causé un chagrin d’amour. C’était l’hiver de la classe de Première. Ce sera sans doute le regret de toute ma vie. (A… si tu me lis…)
J’ai horreur qu’on m’appelle « jeune homme ». Je trouve ça terriblement condescendant.
J’ai peur de la mort.
Je ne crois pas en Dieu. C’est peut-être pour ça que j’ai peur de la mort (parce que je n’ai rien à espérer pour après).
J’ai des complexes sur mon physique.
Je ne bois plus de blended depuis une nuit du printemps 1997 où j’ai beaucoup vomi. Je n’ai jamais été malade avec un single malt.
Quand j’étais petit, j’achetais des billet de Tac-O-Tac. Je voulais gagner plein de sous pour acheter un tigre. Comme ça, à l’école, personne ne m’aurait plus embêté.
Je n’ai rien contre coucher le premier soir.
Certaines personnes ne savent pas que je ne les aime pas.
Certaines personnes ne savent pas que je les aime.
Je n’ai jamais fumé (jamais tiré une taf, ni sur une cigarette, ni sur un joint, ni sur une pipe, ni sur un narguilé…) et plus le temps passe plus je suis heureux de n’avoir jamais commencé.
J’aimerais avoir des enfants un jour, et vivre avec leur maman et eux.
Un jour mon père m’a dit « Thomas, va t’faire couper les ch’veux. » Je lui ai dit « D’accord, dans vingt ans, si tu veux. » Finalement, j’ai tenu dix ans, et je les ai coupés de ma propre initiative, parce que j’en avais envie. De l’avis général, c’était une bonne idée.
Je n’ai fait les vitres chez moi qu’une fois en deux ans et demi.
Entre la sonnerie du réveil et le moment où je m’extrais de sous la couette, il s’écoule très rarement moins d’un quart d’heure, quelquefois plus d’une heure. Et sous la douche, c’est vingt minutes minimum (sauf absence d’eau chaude). Toujours en écoutant France Info.
Je m’offre de droit un pain au chocolat si j’arrive au boulot avant dix heures.
J’ai des secrets.
Je suis supposé passer la main à trois victimes. Elles se reconnaîtront.
18 décembre 2005 à 18:11
je confirme te couper les cheveux fut une très bonne action
et laisse tes complexes au placard, t’es mignon comme tout (quoi que peut être tu vas trouver que ça fait « jeune homme » cette formulation ;o))
mais j’m’en fous si ça se trouve tu m’aimes (pas) et je le sais (pas) :oD
18 décembre 2005 à 19:18
Très touchante cette petite histoire de Tac-O-Tac… Je n’ai pas eu cette idée étant gosse, mais j’aurais bien pu participer à l’achat des billets, on se serait prêté le tigre.
18 décembre 2005 à 23:51
C’est en lisant des trucs comme ça que je me dis que je te connais… bien 🙂
Je t’embrasse
µ
19 décembre 2005 à 10:22
A quand les chemises à fleurs !!!???
19 décembre 2005 à 10:38
Quant à moi, j’ai couché avec infiniment plus de filles que de garçon. Quelle activité !
🙂
24 février 2006 à 23:59
[…] Ah, tiens, si, justement. Cossaw me demande quarante-neuf révélations (rien de moins !) et sept victimes expiatoires, alors que j’ai déjà peiné il y a quelque temps à trouver seulement vingt détails qu’à coup sûr presque personne ne connaissait. Et déjà alors, j’avais choisi de ne pas choisir qui après moi monterait au créneau pour livrer ses vingt perles. Quant à Neuro, il s’interroge sans doute quant aux secrets que je pourrais lâcher sous l’empire d’un état d’imprégnation éthylique. […]