Let me see your beauty when the witnesses are gone
Let me see your beauty when the witnesses are gone
Let me feel you moving like they do in Babylon
Show me slowly what I only know the limits of
Dance me to the end of love
J’ai toujours dans l’oreille et dans le cœur la voix grave et chaude de Leonard Cohen, unique, cette sensation lumineuse et sombre. Une chanson comme une sculpture sensuelle. Mais là, c’est la voix d’une femme qui la revisite, et qui l’éclaire sur un arrangement jazzy-cozy. Une heureuse surprise offerte par Madeleine Peyroux sur le blog de Krome. Merci Krome.
7 janvier 2005 à 00:41
De rien.