Roberto Zucco

Sur les toits de la prison, les gardiens mesurent l’infiniment petit de leur veille vaine. Il faudrait être un courant d’air pour pouvoir s’échapper. Il faudrait être liquide. Mais lui Roberto, il est liquide. Il est sang qui gicle, sang qui suinte, et il s’échappe. Il sème la mort, mais il est ce qui reste de vie dans une ville de violence et de luxure. Seuls survivront les ivrognes et les putains…

Roberto Zucco de Bernard-Marie Koltès. Club théâtre de l’ENSTA[1], lundi 16 octobre à 20:00. Prévoir une petite laine, c’est en plein air. Réserver par email : theatre@ensta.fr.


  1. 32, boulevard Victor – Paris XVe – métro Balard ou Porte de Versailles.

Une réponse à “Roberto Zucco”

  1. Un soir de pluie et de vent » Une connaissance aperçue sur le quai du RER a dit :

    […] Enfant du bitume, fils de pub et cœur d’artichaut, Thomas dans tous ses états, surtout les plus improbables. « Roberto Zucco […]

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