Un lundi au soleil, fragment 6 — Petite musique d’avril
La musique d’abord. Tout doucement se rapprocher, fermer les yeux et oublier même les notes. Juste être là et toi dans mes bras. Et puis plus tard, au creux des nuits, connaître ton corps sur le bout des doigts.
Et apprendre tes yeux par cœur.
5 mai 2006 à 03:02
mmm. Quelques mots qui disent beaucoup.
6 mai 2006 à 13:04
Elle en a de la chance celle qui connait tes bras et qui lis tes mots 😉
Je prends toujours du plaisir à dire à un homme combien il me plait… Je trouve ça tellement vivifiant les élans du coeur.
Belle histoire à toi, Thomas.
Blogueusement votre,
Célinette
7 mai 2006 à 19:43
Notes de musique douces à rêver. Corps blotti au creux du corps de l’Autre, des bras qui enlacent, des mains qui découvrent, sourire-tendresse… Merci. Ann
7 mai 2006 à 21:00
l’essentiel quoi…..
24 mai 2006 à 16:20
Douce chaleur, sentir près de soi un corps aimé, lire en braille les mots de ton corps, deux êtres et deux âmes amoureusement enlacés, deux mains que se prennent, deux coeurs qui s’appaisent dans les bras de Morphée, rêves partagés au sein d’une nuit finissante, garder et nourrir cet amour à l’aube naissante, combien de fois ces instants répétés, combien de temps…..