Out in Bangkok
Bangkok, c’est une ville où il fait chaud. Ici, c’est l’hiver. Il fait 33°C, et quand le soir tombe (et qu’on s’attend à ce qu’il fasse plus frais) la moiteur de l’air devient presque étouffante. C’est une ville très étendue, qui s’étale, tentaculaire, sur des kilomètres de rues enchevêtrées repérées par des numéros qu’il ne faut pas manquer si l’on veut descendre à bon port de l’autobus local. On peut aussi prendre le moto-taxi, ça fait un peu peur mais ça va très très vite (surtout dans les embouteillages). Le métro étant fermé depuis plusieurs semaines, il ne reste que le Skytrain (métro aérien) comme chemin de fer local. C’est déjà bien, et si seule une partie de la ville est desservie, les trains sont rapides, fréquents, et climatisés. On doit pouvoir y prendre froid, même.
Le coucher de soleil sur la ville est toujours spectaculaire. Quand il fait noir, on peut se promener dans le marché de nuit pour faire ses courses de contrefaçons à la mode et de raquettes électriques pour croisade anti-moustiques. On peut aussi sortir en boîte pour danser un moment avec de petites Thaïs de petite taille… Ou prendre un cocktail dans un bar chic qui domine le gigantesque patchwork de la cité tropicale.
C’est chouette, les vacances.
1 février 2005 à 23:14
c’est cool d’avoir de tes nouvelles 🙂
17 décembre 2006 à 12:19
Bangkok… Combien de fois y ai-je mis les pieds ? Dans ce pays voisin à celui de mes parents ?
Mes premiers souvenirs sont là-bas, au gré de tout ce temps perdu… révolu…
La température est au départ insupportable… quand on sort de l’aéroport climatisé, on se retrouve dans un sauna irrespirable… Mais quand on s’y habitue… Bangkok, soit on aime, soit on déteste… Et moi j’aime !
Merci pour ce texte !
Zu